Actualité

Excellente saison 2024 ! Espoirs en 2025 !

 

 

 

On ne peut que s’en réjouir. L’année qui se termine figure parmi les meilleures que j’ai connues.

Brochets et truites ont été au rendez-vous pour le plus grand plaisir de nos pêcheurs. La régularité du temps maussade explique peut-être la moins grande irrrégularité des journées de pêche.

 

Sans doute bénéficions nous aussi quelque part des deux années de Covid où, la pression de pêche ayant été faible, les poissons se sont mieux reproduits et ont été plus préservés de la prédation humaine. Résultat : Plus nombreux et plus de gros poissons en ce qui concerne les brochets.

 

Les truites sont toujours aussi nombreuses mais il semble que la taille moyenne soit revue à la baisse en rivière. Je pense que le réchauffement climatique n’y est pas étranger et que les gros poissons filent vers les lacs sitôt qu’ils sentent l’eau baisser, vers le mois d’avril. Les baisses de niveaux d’eaux qui se produisent ce mois-là induisent une baisse de la teneur en oxygène, un réchauffement de quelques degrés accompagnés d’une prolifération d’algues filandreuses qui témoignent donc d’une forte eutrophisation. A noter également que la quantité de mouches, insectes et donc larves va en décroissant et la nourriture disponible est sans doute moindre . Engrais et pesticides sont de plus en plus utilisés et les drainages des champs de plus en plus visibles. Ceci expliquerait cela. Autant d’hypothèses que j’émets à partir de mes constatations. La vérité n’est sûrement pas que là mais une part s’y trouve assurément.

 

Pour terminer sur une note encourageante, j’ai aussi constaté une prolifération de jeunes brochets, signe que la fraie en 2024 a été fructueuse comme on pouvait s’y attendre et cela augure de bonnes journées à venir. J’ai aussi prospecté et découvert de nouveaux parcours à truites qui se sont révélés prometteurs tant par le nombre que la taille moyenne. J’attends les amateurs pour valider mes dires !

 

Christophe,

29 novembre 2024

 

Une année 2024 très prometteuse

 

 

 

Après un hiver et un début de printemps excessivement pluvieux qui ont entretenu des crues sur plusieurs mois, nous voilà enfin revenus à des conditions climatiques favorables à la pêche et au tourisme.

Nos premiers pêcheurs l’ont constaté dès leur arrivée et depuis un mois, les résultats des journées de pêche sont inespérés tant par le nombre que la taille des poissons pris, notamment les brochets. Evidemment, tous les jours ne sont pas fêtes mais la moyenne a été considérablement revue à la hausse pour leur plus grande satisfaction. Les journées à 60 truites par pêcheur ont été fréquentes et de même pour le brochet avec parfois plusieurs mêtrès par session sans compter les autres de plus de 10 livres.

Il reste à espérer que cela dure et que les hautes eaux de ce début de printemps auront contribué au succès de la fraie qui assurera le succès des années à venir.

 

Christophe, Mai 2024

Bilan 2022 : Une saison de pêche en demi-teinte

Une chose est sûre, l’année 2022 aura été marquée par son irrégularité : Après un hiver particulièrement doux et pluvieux où nous n’avons subi que trois ou quatre gelées matinales, dès avril, les pluies ont cessé et les eaux ont commencé à se réchauffer assez vite tandis que la pluie devait s’arrêter pendant presque six mois. Là, pêche exceptionnelles depuis février jusqu’à mi-mai avec de très nombreux et de très gros brochets et jolies pêches de truites plus tôt qu’à l’habitude. Résultat : Baisse très rapide des niveaux, réchauffement donc baisse de l’oxygène dissout et croissance aussi fulgurante qu’envahissante de la végétation aquatique condamnant certains secteurs notamment pour la pêche à la truite. Un été chaud et donc très sec a suivi pour ne s’arrêter que brutalement en octobre à la faveur de pluies diluviennes et donc de crues subites dont nous voyons la fin que maintenant, en décembre.

 

Impossible de le nier, le réchauffement climatique est bien là dont je situerais, en Irlande je précise, les prémices vers 2016/2017. Ceci n’est que ma constatation personnelle, mettant en parallèle les résultats de la pêche au fil des saisons pour émettre l’hypothèse que le comportement des poissons évolue en même temps : Migration plus précoce des truites vers les grands lacs pour y passer les mois chauds, régime alimentaire basé sur d’autres proies à cause de la diminution du nombre d’insectes et larves, changement des heures d’alimentation vers tôt le matin ou tard le soir, tenues dans des secteurs moins herbeux , plus profonds, plus oxygénés ? Autant de suppositions dont je ne détiens pas la vérité mais qui obligent à s’adapter. Les plus prétentieux diront qu’ils ont déjà trouvé les solutions aux problèmes, moi, je tâtonne encore car le problème n’est pas figé dans le temps mais plutôt évolutif, nécessitant donc une perpétuelle remise en question des données de départ. Je m’y attache et remets chaque jour en question ce qui semblait être tenu pour acquis car la pêche a ceci de magique qu’elle nous réserve de belles surprises et des journées magiques. 2022 n’a pas échappé à la règle.

La vraie solution serait qu’il n’y ait plus de problème de climat mais là, hélas, on peut toujours rêver !

 

Je souhaite tout de même conclure cet article par une note réaliste et optimiste : les poissons sont toujours bel et bien là, en nombre toujours important dans un environnement aquatique, certes affecté, mais toujours aussi envoûtant et qui n’a rien perdu de sa superbe ni de son charme.

Ma volonté de prendre et vous faire prendre du poisson est restée intacte avec mon dévouement sans faille.

 

Deirdre s’associe à moi pour vous souhaiter le meilleur en 2023 et nous vous assurons que nous ferons cette année encore tout notre possible pour que votre séjour reste inoubliable.

 

Bonne année 2023 à toutes et tous

 

Christophe, décembre 2022

vacances en Irlande : La fin des restrictions

La voie est libre. Depuis fin janvier 2022, toutes les restrictions encore en vigueur ont été levées et chacun peut vaquer à sa guise.

Tout le secteur hôtellerie et restauration est ouvert sans limite de nombre ou de place ainsi que les lieux publics à la condition de porter le masque dans les zones de grands rassemblements.

Ouf ! Déjà deux ans que ça durait et on a bien l’impression d’en voir le bout et de recouvrer notre liberté de mouvement chèrement gagnée sur l’ennemi invisible qui s’affaiblit de semaines en semaines. Tant pis pour lui et tant mieux pour nous. Et puis les jours rallongent considérablement, on tient le bon bout !

 

Côté pêche, les nouvelles sont plutôt bonnes car la densité de poisson est excellente au vu des quelques sorties effectuées entre les jours de mauvais temps car vent et pluie hivernaux sont eux aussi fidèles au rendez-vous.

Deux ou trois jours de radoucissement ou un bon rayon de soleil de quelques heures suffisent à relancer l’activité subaquatique et même certaines éclosions précoces d’olives et buzzers. Pas encore de gobages, n’exagérons pas mais il s’en faudra de peu dans quelques semaines.

Ma première et seule sortie à la truite le 15 février a été plutôt encourageante dans une eau toujours froide puisqu’elle s’est soldée par dix truites en deux heures de pêche. J’étais habitué à moins à cette époque de l’année.

J’ai bien effectué quelques sorties brochet quand c’était possible et ai pris quelques poissons aux leurres souples ramenés très lentement au dessus du fond mais les gros n’étaient pas de sortie. Seuls les petits osent encore bouger lorsque l’eau est à 4 degrés. Là, pas question de sortir car la tempête sévit et les rivières amorcent une crue qui va tout paralyser pour une dizaine de jours. Il va falloir être patient mais n’est-ce pas la qualité première et intrinsèque du pêcheur ? Pour être très honnête, je piaffe quand même et mes démangeaisons palmaires reprennent de plus belle. Seul traitement efficace : tenir du liège dans la paume de la main, je n’ai rien trouvé de mieux !

Ha si, j’oubliais ! Je ne sais pas si c’est aussi efficace que le vaccin contre le coronavirus mais j’ai remarqué qu’à la pêche au milieu d’un lac avec les gaz d’échappement de mon moteur hors bord en inhalations modérées, je n’ai jamais attrapé le covid. Qu’on se le dise !

 

Tiens, pendant que j’écris ces lignes, la neige s’est mise à tomber mêlée à une pluie glaciale donc je vais devoir prendre les mesures qui s’imposent face à une telle situation : Allumer le feu dans la cheminée et siroter confortablement un whiskey ! On n’a pas des métiers faciles !

 

Christophe

18 février 2022

Voyager en Irlande : les modalités au 01/09/2021

Venir pêcher en Irlande à partir de septembre

Hier, 31 Août au soir, le premier ministre irlandais a prononcé le discours tant attendu concernant la levée des dernières restrictions du pays qui s’étaleront sur septembre et octobre. Néanmoins, celles concernant les voyages sont déjà levées depuis le 19 juillet mais le passage des frontières reste assorti de certaines obligations.

 

A ce jour, ceux et celles qui envisagent un séjour en Irlande devront se plier aux exigences suivantes que le voyage se fasse en avion ou en ferry et ils devront se munir dès leur point de départ de:

 

Dans le sens France vers Irlande :

 

1/ D’une pièce d’identité valide (passeport ou carte d’identité). Attention, les anciennes cartes d’identité valables 10 ans mais prolongées de 5 ans ne sont pas valables si la validité de 10 ans est dépassée.

 

2/ du titre de transport aérien (carte d’embarquement) ou billet de ferry.

 

3/ Du Pass Sanitaire avec QR code soit enregistré sur le téléphone mobile soit imprimé sur papier. Il est conseillé d’avoir les deux au cas où le mobile serait déchargé par exemple.

Ce Pass Sanitaire est délivré en France à toute personne complètement vaccinée ou ayant effectué un test PCR dans les 72 heures avant l’arrivée en Irlande ou ayant contracté le Covid et ayant bénéficié d’une vaccination.

 

4/ Du récépissé (sur le mobile ou imprimé sur papier) attestant que le passager a bien rempli en ligne le Passenger Locator Form qui est obligatoire et doit être complété dans les 72 heures qui précèdent l’arrivée en Irlande. Ce document ne peut être complété qu’en ligne sur le site officiel

https://travel.eplf.gov.ie/en

 

Muni de ces 4 documents, dont 2 étaient habituels, le passage aux frontières se fait sans encombre et le voyageur peut circuler librement en Irlande.

 

Dans le sens Irlande vers France :

 

1/ Titre de transport retour avion ou ferry

 

2/ Pièce d’identité valide aux mêmes conditions que ci-dessus

 

3/Pass sanitaire vaccinal avec QR code pour les personnes complètement vaccinées ou le résultat négatif avec QR code d’un test PCR réalisé de moins de 72 heures avant l’arrivée en France. A savoir qu’en Irlande, le tests PCR réalisé pour convenance personnelle, tel qu’un départ à l’étranger,

doit être réalisé en laboratoire privé, que son coût varie de 99 à 250 euros selon le laboratoire et que les laboratoires ne sont pas forcément ouverts le week-end et les jours fériés. Cela peut donc créer des complications inattendues, générer des frais supplémentaires et faire perdre du temps de séjour. La solution, la plus simple étant d’être vacciné !

 

4/ La déclaration d’engagement sur l’honneur format papier attestant que le voyageur ne présente pas de symptômes du Covid et n’a pas été cas contact à sa connaissance dans les 14 jours précédant le retour vers la France. Nous en tenons des exemplaires à disposition des personnes qui résident chez nous à Finford House et il est aussi téléchargeable sur le site ambafrance.ie ou sur le site du ministère français de l’intérieur.

 

 

Finalement, pour toute personne déjà vaccinée et donc munie de son Pass Vaccinal, cela ne demande pas plus de 5 minutes supplémentaires pour avoir les documents nécessaires à son voyage.

 

En Irlande à ce jour, le Pass est demandé dans les restaurants, les pubs et tous les lieux publics en intérieur. Les irlandais ont d’ailleurs fort bien accepté ces mesures, et, même si la vaccination n’est pas obligatoire, 80% de la population de plus de 12 ans est déjà vaccinée et cela n’a donné lieu à aucune manifestation contre le soi-disant  »diktat » des autorités. Moyennant quoi, la vie a repris normalement même si l’on doit toujours respecter les gestes élémentaires de protection sanitaire.

 

 

J’ignore combien de temps les documents cités plus hauts seront exigés, sans doute tant que la pandémie n’aura pas été jugulée mais cela ne doit donc plus maintenant être un obstacle à voyager en Irlande que ce soit pour la pêche ou le tourisme. Nos premiers pêcheurs ne peuvent que se féliciter de bénéficier d’une abondance de poissons. Il y a fort à parier qu’il en sera de même en 2022 mais les premiers arrivés seront les premiers servis !

A très bientôt

Christophe Le Guérinel

www.irlandepechetourisme.fr

 

 

 

 

Séjour et pêche en Irlande en 2021 : Enfin des bonnes nouvelles

Feu vert le 19 juillet

 

On attendait ça depuis 16 mois : Suite au discours du Premier Ministre irlandais Michael Martin du 28 mai 2021, L’Irlande lève progressivement les restrictions liées au tourisme et aux voyages internationaux.

 

Pour les voyageurs, les dates importantes sont les suivantes :

Toutes les structures d’hébergement pourront ouvrir à partir du 2 juin

Réouverture des restaurants et pubs le 5 juillet pour les services à l’intérieur (ouverture en juin pour les services en extérieur)

Les sites touristiques sont déjà ouverts ou ouvriront en Juin selon qu’ils sont extérieurs ou intérieurs

 

La France, la Belgique et le Luxembourg viennent enfin d’être retirées de la liste noire imposant une quarantaine obligatoire en hôtel.

 

L’Irlande a adhéré au « Pass digital covid 19 » la semaine dernière et ce dernier sera effectif à partir du 19 juillet. En clair, cela veut dire que toute citoyen d’un état de l’Union Européenne qui aura soit été pleinement vacciné, soit fera valoir la preuve d’un test PCR négatif de moins de 72 heures, soit fera la preuve d’une guérison du covid de plus de 2 semaines et de moins de 3 mois, pourra entrer et voyager librement en Irlande sans quarantaine de 14 jours. A cet effet, chacun devra pouvoir produire le Pass digital qui fera mention d’au moins une de ces conditions et que chaque état membre de l’UE devra mettre en place dans un délai de 6 semaines.

 

Ces bonnes nouvelles tant attendues vont enfin permettre aux voyageurs potentiels de faire ou refaire des projets vers la destination irlandaise, chose impossible jusqu’alors.

 

Nous serons bien sûr en mesure de vous accueillir à partir du 19 juillet et tous ceux qui avaient initialement prévu ce séjour en 2020 chez nous à Finford House auront la priorité soit en 2021 soit en 2022. Au regard des excellentes pêches que nous réalisons depuis l’année dernière, les pêcheurs peuvent s’attendre à être satisfaits, tout au moins tant que les poissons n’auront pas été un peu rééduqués. Une chose est certaine, il y en a en nombre que ce soit truite ou brochet.

 

Je suis bien conscient que toutes les douches écossaises subies depuis mars 2020 laisseront bon nombre de voyageurs attentistes pour quelques mois encore mais cette fois l’optimisme est enfin de rigueur et, même si je me répète, vaccination et comportements responsables en sont les clés.

 

Haut les cœurs et je l’espère à bientôt !

 

Christophe Le Guérinel

www.irlandepechetourisme.fr

Séjour et pêche en Irlande en 2021 : Une lumière au bout du tunnel

 

Enfin, le feu rouge qui a duré 5 mois vient de passer à l’orange clignotant mais à quand le feu vert ?

L’Irlande vient de lever la plupart des restrictions majeures qui paralysaient le pays depuis fin Décembre : Nous pouvons enfin voyager dans tout le pays, les magasins et services rouvrent petit à petit et le secteur hôtelier rouvrira ses portes le 2 juin. En revanche, le secteur restauration et pubs restera très réglementé. Les activités extérieures sont autorisées et les lieux touristiques ouvriront leurs portes prochainement. Un peu d’Eire ça fait Dublin, oserais-je dire (un peu d’air ça fait du bien) après tant de mois de contraintes forcées.

 

Mais pour ceux qui souhaitent venir en Irlande, me direz-vous, qu’en est-il pour l’instant ?

Là, ça se complique un peu car cela dépend d’abord du pays dont on vient, des mesures strictes et incontournables de quarantaine s’appliquant aux ressortissants de pays figurant sur la liste noire ou rouge dont fait partie la France pour le moment.

Pour les français,cela dépend aussi désormais du fait d’avoir été pleinement vacciné ou pas et avec un vaccin reconnu par l’agence européenne de santé (4 pour le moment) et d’un test PCR négatif effectué dans les 72 heures précédant l’arrivée en Irlande. La pleine vaccination et le test négatif permettent d’échapper à la quarantaine en hôtel aux frais du voyageur mais ne dispense pas de la quarantaine au lieu de résidence déclaré, pour une durée de 14 jours. Il y a cependant possibilité de refaire un test au bout de 5 jours et s’il est négatif, la quarantaine prend fin à réception du résultat.

 

Ça, ce sont les mesures en vigueur aujourd’hui 21 Mai 2021 mais quelles sont les perspectives ?

 

Le gouvernement irlandais a annoncé il y a deux jours que les irlandais seraient autorisés à voyager à l’étranger à partir du mois d’août (c’est encore interdit à ce jour). Il n’a cependant précisé ni les conditions, ni vers quelles destinations et si une quarantaine continuerait à s’appliquer à leur retour. Sensément, peut-on leur en imposer une quand ces personnes devront reprendre leur travail ou l’école  au retour? Et s’il n’y a plus de quarantaine pour eux, il ne peut y en avoir pour ceux arrivant des pays où ils sont allés. Pas d’autres précisions à ce sujet.

 

L’Union Européenne, après plusieurs séances de discussions, vient de voter le « certificat sanitaire européen » utilisable à partir du 1° juillet prochain et qui, muni d’un code QR, attesterait de la vaccination et d’un test PCR négatif réalisé avant le départ. Cela devrait dispenser de la quarantaine. Néanmoins, chaque pays membre de l’UE reste en droit d’imposer des mesures plus strictes si les conditions sanitaires l’exigent . Je cite:

Le texte prévoit que les Etats membres « s’abstiennent d’imposer des restrictions de voyage supplémentaires » comme des tests ou une période d’isolement, « à moins qu’ils ne soient nécessaires et proportionnés pour protéger la santé publique ».

 

L’Irlande fait partie de l’Union Européenne mais ne fait toutefois pas partie de l’espace Schengen, ce qui lui confère une certaine liberté à imposer ces restrictions et aux dates de son choix.

Tout bien considéré, on n’est pas plus avancé à ce jour mais il semblerait de façon optimiste qu’au milieu de l’été, certains voyageurs potentiels puissent alors mettre leurs projets à exécution.

Je ne peux donc que conseiller à tous ceux qui souhaiteraient venir nous voir de se faire vacciner au plus vite si ce n’est déjà fait. Moi, c’est fait !

Encore un conseil : Ne vous précipitez pas sur les réservations de transports tant que nous n’avons pas de certitudes et ne cédez pas aujourd’hui aux sirènes publicitaires des compagnies aériennes ou maritimes qui n’ont pas plus d’informations que vous. De la place il y en aura , même au dernier moment, car de toute façon les étrangers ne seront pas légion en 2021.

Les seuls à être bien satisfaits de cette crise, ce sont les poissons qui sont toujours aussi nombreux voire plus et se sont déshabitués à voir passer les leurres. Cette année, comme l’année dernière, ceux qui comme moi vont à la pêche tous les jours, se régalent : Du nombre et de beaux poissons. Il en sera de même pour ceux qui viendront ! Alors, vaccination ou pas vaccination ? Et même si ce n’est pas pour voyager, le sens civique reste encore de rigueur pour que l’effort mondial à éradiquer ce virus ne reste pas un vain mot.

 

Christophe Le Guérinel

www.irlandepechetourisme.fr

Séjour et voyage de pêche en Irlande en 2021 : Est-ce possible ?

 

Nous sommes le 24 février 2021 et je ne peux vous livrer que les informations valables à ce jour suite à l’annonce du gouvernement irlandais datant d’hier soir.

 

L’Irlande reste en restrictions niveau 5 (le plus haut) jusqu’au 5 avril au moins.

Ceci veut dire entre autres mesures :

 

Toutes formes d’hébergement public fermées

Commerces et services essentiels fermés

Restaurants et pubs fermés

Tous lieux publics de rassemblement fermés (sites touristiques, lieux de culte, lieux culturels, etc)

Obligation de rester dans un rayon de 5 km à partir de son domicile sauf déplacement pour raisons essentielles.

 

En ce qui concerne, la possibilité de voyager ou pas :

 

Bien que les frontières ne soient pas officiellement fermées, tout voyageur arrivant d’un pays hors frontières maritimes doit fournir à son arrivée sur le territoire irlandais un résultat négatif de test PCR datant de moins de 72 heures d’une part, remplir le formulaire déclarant où il va résider (passenger locator form)  et y rester en  »quarantaine » pendant 14 jours. La police est habilitée à contrôler la réelle présence du voyageur dans le lieu désigné sur le formulaire et l’infraction est pénalisée d’une amende de 2500 euros au moins. Cette quatorzaine peut néanmoins être écourtée en effectuant au moins 5 jours après un autre test qui devra lui aussi être négatif. Dans ce seul cas, la quatorzaine prend fin à réception des résultats du test.

A défaut de produire un test négatif à l’arrivée, le voyageur est mis en quarantaine d’office par les autorités dans une structure dédiée, à ses propres frais  et avec interdiction de sortir de sa chambre.

 

Nous n’avons pas d’information sur la durée de ces restrictions aux frontières mais compte tenu de la peur d’importer de nouveaux variants du virus, il y a fort à parier que cela dure encore un bon moment.

 

Pas très encourageant, tout ce que je vous annonce là mais c’est malheureusement la triste vérité pour tout le monde. A savoir que ces informations sont disponibles et mises à jour quotidiennement sur le site www.ambafrance.ie (site de l’ambassade de France en Irlande).

Seul point positif : Pendant que les brochets et les truites attendent votre visite, ils grossissent et se multiplient !

 

Il est évident que ces informations ne font plaisir ni à ceux qui souhaitent voyager ni à ceux qui sont censés les accueillir mais qu’y faire sinon se résigner en attendant des jours meilleurs et une vaccination de masse qu’on ne peut qu’encourager.

Bonne année 2021, quelles perspectives en Irlande avec le covid 19 ?

 

En ces premiers jours de 2021, même si c’est un lieu commun, que peut on souhaiter d’autre que la santé, aussi bien individuellement que pour la collectivité ? L’année passée nous a révélé combien c’est un bien précieux et qu’une multitude de domaines en dépendent directement ou indirectement. Avant cette crise sanitaire hors du commun, nous ne pouvions pas en prendre conscience et le « bonne année, bonne santé » lancé à tout va le 1° Janvier était plus une formule de politesse vite oubliée. Aujourd’hui, dans un intérêt commun, cela ne doit plus être seulement des mots mais des actes pluri-quotidiens qui ont encore bien du mal à rentrer dans nos habitudes ou que certains esprits malveillants récusent encore, inféodés qu’ils sont à des réseaux sociaux, où l’on trouve de tout (surtout le pire), pour faire de l ‘audience.

Seuls, les faits et les actions envisagées par les pouvoirs publics constituent la réalité et montrent combien chacun d’entre nous peut apporter sa réponse. Sans aucun doute, la vaccination à grande échelle viendra à bout de ce virus dès que nous aurons atteint un taux national d’immunisation de 70 à 80%, moi j’y crois !

Bien que jacobins dans l’âme, les français n’en ont pas moins créé un état colbertiste où l’ administration pléthorique donne à la France une inertie considérable dès qu’on lui confie une nouvelle mission, tel le mythe de Sisyphe, et contrairement à nos voisins anglo-saxons plus réactifs. D’où la lenteur à la mise en place de la campagne de vaccination. Parions qu’une fois lancée, le mécanisme sera bien huilé et sans faille.

En attendant, la situation sanitaire en Irlande s’est considérablement dégradée depuis Noël et les chiffres de contaminations et hospitalisations sont devenus alarmants ces derniers jours. Nous voilà à nouveau confinés pour un mois minimum mais cela sera certainement prolongé jusqu’à une date évidemment indéfinie, en tous les cas jusqu’à ce que la situation soit à nouveau maîtrisée et gérable d’un point de vue médical et économique. Pour rentrer sur le territoire irlandais, les voyageurs arrivant du Royaume-uni et d’Afrique du sud doivent désormais produire un certificat de test négatif datant de moins de 72 heures. Il n’est pas impossible que cela soit étendu à d’autres pays si les circonstances l’exigent.

Autre signe peut-être révélateur, la compagnie aérienne Ryanair a engagé une campagne de publicité télévisuelle pour les voyages estivaux vers les destinations sud-européennes et destinée aux personnes qui auront été vaccinées : « Vax and go  ». Bien sûr, Ryanair n’est pas le gouvernement irlandais et ne fait pas la pluie et le beau temps, mais pour le moins cela prépare les esprits aux éventuelles futures conditions de voyages ou exigences auxquelles nous pouvons nous attendre un jour ou l’autre.

 

Il est évident que j’aurais préféré vous inonder de nouvelles optimistes en ce début d’année mais je m’efforce de rester réaliste devant cet avenir flou, incertain, angoissant mais où l’espoir survit coûte que coûte, surtout celui de réaliser, comme en 2020, les plus belles pêches depuis plusieurs années (plus de 1000 brochets et 700 truites sur 8 mois pêchables).

 

Prenez tous soin de vous et haut les cœurs ! A nous tous, nous vaincrons l’ennemi invisible et retournerons à la pêche !

 

Christophe Le Guérinel

Nouvelles d’Irlande à nos amis pêcheurs

 

La fin de cette année particulière approche et je pense que c’est sans grand regret que nous en voyons le bout. D’une façon ou une autre, nous en avons tous souffert et le plus dur a certainement été pour chacun l’isolement vis à vis de nos proches et peut être parfois la maladie ou la disparition d’êtres chers. 2021 arrive à grands pas, porteuse d’espoirs et je souhaite de tout mon cœur que les traditionnels bons vœux ne seront pas de vains mots.

L’Irlande a vécu et vit toujours cette crise comme la France avec cependant un peu moins de cas de Covid et de décès, toute proportion de population gardée. Le gouvernement irlandais s’est montré assez strict et le reste. A ce jour, une quatorzaine reste toujours en vigueur à l’arrivée en Irlande qui préconise de restreindre les contacts mais n’empêche pas d’aller à la pêche si les précautions élémentaires sont prises. Il n’y a pas de date de fin connue. L’arrivée promise et tant attendue des vaccins résoudra bien une partie du problème mais une autre bonne partie de la réponse reste comportementale et nous ne pouvons oublier les préconisations élémentaires pour nous prémunir contre cet ennemi invisible qui, en définitive, nous aura fait prendre conscience de certaines erreurs humaines , nous aura amené à réfléchir autrement et à apprécier différemment ces tout petits bonheurs quotidiens qui, avant, passaient inaperçus . Nous en sortirons plus philosophes, plus contemplatifs, plus soigneux, plus respectueux et sans doute plus épicuriens. Nos valeurs seront probablement un peu changées mais qui peut s’en plaindre.

Très révélateurs des comportements humains aussi ces derniers mois, qui ont fait le lit et les beaux jours des contestataires et détracteurs de tous poils sur les réseaux sociaux, toujours à l’affût des fausses mauvaises nouvelles à lancer, jetant le doute dans les esprits manquant de discernement ou les persuadant de fausses certitudes portant ainsi préjudice à la grande majorité des citoyens.

 

Je n’ai pas oublié tous ceux et celles qui avaient réservé un séjour chez nous et n’ont pu venir ce que

je comprends parfaitement. Comme nous vivons dans l’incertitude la plus complète depuis 9 mois, il m’était bien difficile de communiquer sur l’avenir, n’en sachant pas plus que vous. L’année finissant, il est plus facile de communiquer sur le passé, notamment sur la pêche qui est pour bon nombre le but du séjour. Là, enfin, que des bonnes nouvelles ! Je n’ai jamais pris autant de truites et de brochets que cette année. La pression de pêche a été quasi nulle et cela m’a permis de mesurer l’impact que cela peut avoir sur les poissons. Beaucoup de beaux et très beaux poissons aussi et la certitude que l’on peut légitimement s’attendre à ce que la fraie (déterminante pour les années à venir) ait bien réussi. Tous les espoirs sont donc permis, les poissons sont toujours dans l’eau ! A noter pour l’anecdote que nous avons vu sous le bateau dans 2 mètres d’eau claire, mais sans le prendre, un brochet avoisinant les 50 livres. Exceptionnel !

 

Une chose est sûre, nous serons en mesure de vous accueillir dès que les circonstances liées aux voyages le permettront, dépendant à chaque fois du pays de départ, de celui d’arrivée et des moyens de transport entre les deux. Equation à trois inconnues bien difficile à résoudre à défaut d’autres données en l’état actuel des informations disponibles.

Je réserverai la priorité des séjours à tous ceux qui nous avaient accordé leur confiance et auraient dû venir en 2020, bien conscient que beaucoup se décideront tardivement, comment faire autrement pour le moment ?

Que tous ceux qui ont préféré laisser leur acompte se rassurent, rien n’est perdu et nos prix seront inchangés. Là encore, tous ceux qui le souhaitent pourront me demander le remboursement si vraiment le séjour leur semble impossible et je les rembourserai aussitôt comme je l’ai fait pour les autres. Ce n’est évidemment le souhait de personne et nous ne pouvons qu’espérer vous procurer bientôt le plaisir de faire connaissance et la réalisation de votre séjour dans les meilleures conditions possibles.

 

Je reste à votre écoute et vous assure de toute ma sympathie en espérant 2021 nous apporter les meilleures nouvelles.

Pêche en Irlande année 2021

 

Au jour où j’écris sur ce blog (4 novembre 2020), je ne peux que me baser sur les informations connues et vous les livrer telles quelles. La situation sanitaire étant encore bien précaire sinon tendue, le gouvernement irlandais comme celui des autres pays européens peut les modifier à chaque instant selon l’évolution des indicateurs sanitaires.

Au moins jusqu’au 1° décembre, nous sommes en situation sanitaire niveau 5, ce qui signifie presque le confinement et nous place dans une situation de protection sanitaire comparable à celle de la France.

Pour le moment, les frontières européennes restent ouvertes et toute personne entrant sur le territoire de la république d’Irlande doit observer une quatorzaine pendant laquelle elle doit éviter au maximum tout contact et limiter les déplacements dans la mesure du possible. Il y a de fortes chances que cette quatorzaine soit maintenue encore un bon moment même à la fin du confinement si tant est que celui-ci soit levé. La quatorzaine implique de rester basé à une adresse donnée ou de signaler le changement, s’il y en, a aux autorités. Cela implique aussi d’éviter toute fréquentation de lieux recevant du public sauf si motif impérieux. Hors confinement, la quatorzaine n’interdit pas d’aller à la pêche à la condition d’éviter les contacts avec les personnes d’autres foyers et de respecter les gestes barrières et distances de sécurité (2 m). Cela reste possible sur un bateau à la pêche au brochet ou en pêchant la truite en rivière.

 

Toujours pour le moment, le plan d’urgence sanitaire défini par le gouvernement irlandais en 5 niveaux révisables toutes les deux semaines, reste en vigueur jusqu’au 31 Mars. Les informations officielles sont tenues à jour sur le site de l’ambassade de France en Irlande (ie.ambafrance.org).

 

Dans la mesure du possible et sous réserve de situation encore bloquée, nous accueillerons les pêcheurs à partir du 1° avril en ayant mis en place les règles qui s’imposeront à cette date afin de vous garantir loisir et sécurité sanitaire.

 

Une chose est sûre, ceux qui viendront à la pêche en 2021 ne seront sans doute pas déçus car les poissons, quels qu’ils soient , n’ont pas été beaucoup dérangés cette année et sont donc plutôt déséduqués car il n’y avait pour ainsi dire personne à la pêche. Faisant partie des rares qui y sont allés régulièrement, je l’ai constaté fortement et n’ai jamais réalisé de si belles pêches qu’en 2020 que ce soit par le nombre ou la taille. Il y a fort à parier que cela va profiter aussi aux années suivantes par la présence de reproducteurs plus nombreux, épargnés faute de pression de pêche.

 

La nature aura tiré profit de cette situation compliquée et incertaine, c’est bien la seule mais c’est au moins ça ! On se console comme on peut.

 

Prenez soin de vous et à bientôt.

Christophe

déconfinement et pêche en Irlande 2020

 

Bonjour à tous, pêcheurs et non-pêcheurs,
Permettez-moi d’abord de vous féliciter pour tous vos efforts qui ont permis d’endiguer cette crise sanitaire sans précédent, aussi subite que lourde de conséquences humaines et économiques.
 Philosophie, réalisme et bon sens de tous nous amèneront sans doute, dès lors, à voir les choses et la vie un peu autrement, je l’espère, et à mesurer combien les activités humaines ont un impact sur notre environnement. Nous nous en sommes rendus compte justement à l’arrêt de ces activités pendant les trois derniers mois mais saurons-nous en tirer les leçons ?
L’Irlande, comme les autres pays, a subi une période de confinement dont nous sortons par étapes restrictives depuis le 18 Mai. Suite aux effets bénéfiques des mesures prises et aux déclarations du Premier Ministre , toutes les activités devraient avoir repris ici au 20 juillet, donc retour à la normale si ce n’est que, comme partout, les précautions essentielles seront encore à observer.
Quant à la pêche, me direz-vous? Il faut reconnaître que les poissons ont été bien tranquilles pendant ces six derniers mois et n’ont certainement pas eu à en souffrir, bien au contraire, si ce n’est le manque d’eau qui sévit en ce moment après des mois de crues hivernales. Autorisé depuis ce 18 mai à sortir pêcher (en tant que guide de pêche seulement) j’ai pu mesurer l’effet de la non-activité halieutique et les résultats se sont montrés assez exceptionnels pour la saison. Pas tous les jours bien sûr mais globalement bien meilleurs que d’habitude avec des sorties au brochet à plus de 15 poissons par jour par personne (35 pour le meilleur jour) et des sorties truite à 15 poissons/heure en moyenne. Pour la pêche en Irlande, 2020 s’annonce comme une année exceptionnellement bonne au regard des premières semaines de pêche dans des endroits variés. 
Vous aviez tous réservé ou envisagé un séjour cette année qui a dû être reporté ou annulé par obligation. Pour tous ceux qui auront la possibilité de venir à partir de fin juillet, sachez que nous avons de la place et que ce sera un grand plaisir de vous accueillir jusqu’à mi-novembre.
Gageons que la situation évoluera toujours dans le bon sens, que ce soit pour nous, la nature en général et les poissons en particulier !    
Cordialement et au plaisir de vous revoir ou de faire connaissance,
best regards
 

Christophe Le Guérinel

séjours de pêche en irlande et covid 19

 

Nous avons eu connaissance le 1° Mai des mesures de déconfinement progressif appliquées en Irlande. Ce dernier s’effectuera en 5 phases de 3 semaines chacune qui s’étaleront du 18 mai au 10 août.

A ce jour, notre rayon d’action est limité à 5 km jusqu’au 8 juin puis s’étendra à 20 km jusqu’au 20 juillet. Les restaurants ne réouvriront que le 29 juin, les structures d’hébergement le 20 juillet et les pubs le 10 août si tout va bien. La pêche est encore fermée sur les grandes rivières et grands lacs mais reste ouverte ailleurs à la condition de rester dans son rayon autorisé. Nous ne savons pas encore quand ESB (compagnie irlandaise d’électricité propriétaire des droits de pêche sur les grandes rivières et grands lacs) réautorisera la pêche. Cela pourrait intervenir ce mois-ci ou début juin.

Il est évident que dans ces conditions, toutes nos réservations du printemps ont été annulées faute de pouvoir vous accueillir, de pouvoir aller pêcher et que vous puissiez vous-mêmes voyager à partir de votre lieu de résidence. Je rassure tout le monde, chaque réservation annulée a fait l’objet au choix, soit d’un remboursement, soit d’un avoir à valoir sur un séjour ultérieur .  Personne ne sera lésé financièrement en dehors de la déception occasionnée par les annulations.

A ce jour, les séjours prévus à partir du 10 août sont maintenus tant que rien ne les empêche.

Nous n’avons tous qu’une hâte, celle de vous accueillir dans de bonnes conditions et de pouvoir retourner à la pêche, retrouver ces poissons qui ne sont pas beaucoup dérangés et qui ne perdent rien pour attendre.

Prenez tous soin de vous pour le moment et nous aurons très bientôt le plaisir de vous recevoir à nouveau.

Christophe

pêche en Irlande et Covid 19

Dommage pour une année qui commençait si bien. Un méchant virus est apparu qui paralyse la terre entière et l’Irlande est affectée comme les autres nations. Des mesures de confinement sont en vigueur depuis le 27 mars, qui tout en étant presque aussi drastiques qu’en France, rendent la pêche impossible: Distanciation sociale de 2 mètres et interdiction de s’éloigner de plus de 2 km de son domicile sans raison essentielle font qu’il est impossible d’aller pêcher. 

Les établissements recevant du public sont fermés et il nous est donc impossible aussi d’accueillir des pêcheurs pour le moment et jusqu’à nouvel ordre comme partout d’ailleurs! Ces mesures ont été prises jusqu’au dimanche 12 avril dans un premier temps mais doivent sans aucun doute être prolongées pour une durée encore indéterminée qui dépendra de leur efficacité. Comme en France, on commence aussi à évoquer le déconfinement par hypothèses sans directives ni dates. Il faudrait être grand clerc pour le deviner et la seule option est de prendre son mal en patience en attendant des jours meilleurs.

Note optimiste, les brochets n’auront pas été dérangés pendant la fraie et cela augurera de bonnes années à venir, auront perdu l’habitude de voir des leurres passer sous leur nez depuis plusieurs mois et ceux qui viendont les pêcher dès que possible devraient se régaler. Idem pour les truites qui n’auront vu personne depuis fin septembre. Sages sont ceux qui pourront différer leur séjour prévu au printemps.

La nature ayant horreur du vide, le défaut d’activités humaines est bien vite comblé par un regain d’activités animales et végétales et ça, c’est bon pour la planète! Les hirondelles viennent d’arriver, les mouches de toutes espèces tournoient en tous sens et les arbres déploient bien vite leurs feuilles pour redonner à l’Irlande ses verts légendaires qui font sa réputation.

Merci à tous pour votre compréhension et à très bientôt sitôt la situation éclaircie.

Christophe  

2020, une année qui commence bien !

2019 fut comme 2018 une année très irrégulière quant à la pêche au brochet. L’hiver commençait plutôt bien mais les printemps et début d’été très secs ont perturbé le rythme habituel. Le dérèglement climatique n’est plus un vain mot car l’automne en général très prolifique commença dans la difficulté : les fortes pluies de fin d’été ont affecté les rivières de façon phénoménale à causes des crues subites accompagnées d’une eau très turbide dont les brochets ont horreur. Il en fut ainsi jusqu’à la fin de l’année où les sorties de pêche furent assez souvent compliquées, voire impossibles tant le vent était fort. Beaucoup moins de sorties donc sur les 3 derniers mois de l’année. En revanche et pour la deuxième année consécutive, j’ai pu constater une augmentation de la taille moyenne des poissons capturés. Nous avons pris sensiblement plus de brochet de 10 livres et plus et ça, c’est une excellente surprise.

Autre bonne nouvelle, la découverte d’un nouveau spot de pêche très sauvage, très fourni en poissons, et où nous avons eu la bonne surprise de sortir plusieurs très très gros !

 

2020 confirme ce qui était pressenti et le mois de Janvier pourtant très froid a démontré que les poissons sont bien là, plus ou moins mordeurs selon le temps. Les quelques journées ensoleillées et sans vent dont les cieux ont bien voulu nous gratifier se sont soldées par d’excellents résultats.

 

Heureuse surprise aussi en septembre 2019, justement à la faveur des montées d’eau : On a trouvé de très belles truites là où nous les pensions plus rares. Elles étaient seulement très méfiantes auparavant et les rivières se teintant, elles se sont fait surprendre par quelques leurres ou vairons bien présentés. Toujours aussi nombreuses dans les coins qu’il faut connaître, il ne tient qu’aux pêcheurs d’aller les tenter en 2020. Avis aux amateurs !

un printemps irlandais à la pêche

Le réchauffement climatique affecterait-il aussi l’île d’Irlande? 

Pour la troisième année consécutive, le printemps y est de plus en plus sec après un hiver doux où les jours les plus froids arrivent en Mars. Sitôt l’hiver passé, les pluies se font très rares et très rapidement les rivières baissent au point de manquer d’eau dès la mi-Mai. Bien sûr, la pêche s’en ressent et se traduit par une irrégularité des journées de pêche. La fraie des brochets est perturbée et on ne peut plus prévoir sa venue, celle-ci dépendant considérablement des températures d’eau qui varient de plus en plus vite. On trouve les premiers brochets à frayer fin Mars et les derniers mi-Mai. 

Cette année 2019, l’eau étant restée peu froide en Janvier, les brochets restaient encore très actifs pour se calmer en février et mars. Avril, généralement très bon, a vu des résultats moyens. Mai commençait bien et les fortes chaleurs, les vents de nord et est et le soleil omniprésent ont considérablement gâché la pêche. Les malheureuses truites n’ont plus que des filets d’eau pour les maintenir et seules les petites répondent encore aux appels du pêcheur. Où sont passées les autres? Sans doute ont-elles fui vers les lacs lorsqu’il y en a un de connecté à la rivière ou bien, calées sous les berges et les souches ne se nourrissent-elles qu’à la nuit et au petit matin. 

Les conséquences directes de la baisse de niveau sont aussi un réchauffement très important et une croissance accrue de la végétation aquatique qui profite de plus de lumière et de calories indispensables à sa croissance. Ajoutons à cela une eutrophisation chaque année plus importante et les rivières sont rapidement impêchables par endroits.

Enfin, maintenant arrivés à fin Mai, une petite pluie fine vient-elle abaisser la température et donne un regain d’activité à
nos eaux.

Optimiste, j’espère toujours la bonne pluie qui durera deux jours et viendra enfin apporter un peu d’oxygène aux poissons et l’espoir au pêcheur.

Bilan de la saison de pêche 2017 à Irlande Pêche Tourisme

Fidèle à elle-même, l’Irlande nous a encore réservé l’année passée bien des moments forts mais parfois certaines déceptions à des moments où l’on ne s’y attendait pas.

Pour la pêche au brochet, le début de saison fut très prometteur avec de belles pêches en Janvier et surtout en Avril où nous battions notre record avec 55 brochets en une journée à 4 pêcheurs. La fraie passa la-dessus et Mai ne restera pas dans les annales ainsi que le tout début Juin. A la faveur du mauvais temps revenu subitement, la pêche reprit instantanément avec de très beaux poissons dont plusieurs mètrés. Nos nouveaux spots du lac Derg et lac Ree ont tenu leurs promesses comme excellents coins pour les pêche de fin de printemps et été au dessus des herbiers. La fin de saison s’avéra difficile car de grosses pluies se sont abattues sur notre région, faisant monter et salissant les eaux souvent, ce que n’aiment pas beaucoup les brochets. La saison s’est conclue à 733 brochets, avec une moyenne de 6,2 brochets par sortie et comme chaque année une moyenne de 1,5% des poissons atteignant ou dépassant le mètre dont le plus gros de 1,12m pour 27 livres.

Pour les truites, pas de surprise, toujours aussi bon en Avril/Mai avec là encore la découverte de quelques nouveaux coins très riches et pour ainsi dire jamais pêchés. Globalement, la saison peut être qualifiée d’excellente avec 1973 truites capturées (et relâchées) et une très bonne moyenne de 27 poissons par sortie (sorties allant de 1h à une journée). Certes, quand les poissons sont nombreux, la taille moyenne est plus petite mais la pêche procure toujours autant de plaisir et cela montre la très bonne densité des rivières environnantes, recelant tout de même de très beaux poissons dans certains endroits que je divulgue exclusivement à nos hôtes. Je précise que ces rivières ne font l’objet d’aucun lâcher et qu’il ne s’agit que de poissons sauvages qui bien sûr se méritent.

Je souhaite à tous les pêcheurs et leurs proches une excellente année 2018, riche en émotions et en petits bonheurs quotidiens, à la pêche comme ailleurs.

Christophe

Pêches de juin et juillet en Irlande

Juin a débuté très difficilement avec des journées chaudes, très ensoleillées et sans vent pendant lesquelles les brochets roupillaient la tête dans les épaules. Comme cela ne peut jamais durer et qu’il faut bien manger, d’excellentes journées ont succédé à ces jours de misère. Nous en avons profité pour sortir plusieurs brochets de plus du mètre et d’autres entre 10 et 15 livres.

Peu d’eau, peu d’eau cependant et si les truites restaient mordeuses, on prenait beaucoup de petites. Il a fallu attendre juillet pour que les niveaux d’eau s’élèvent enfin et que les grosses ressortent. Là, ça devient plutôt bon et cela dure toujours puisque les rivières se sont bien remplies.

Juillet, c’est aussi le mois des perches qui nous ont permis de réaliser de très beaux tableaux au petits leurres souples tout en prenant aussi régulièrement des brochets. Beaucoup de plaisir à les sortir sur les petites cannes type modèle à vairon manié et régulièrement plus de 100 poissons par jour!

La pêche en Irlande

L’Irlande, une terre de mythes bercée par des légendes celtiques, figure dans la liste des plus belles régions du monde. Le pays est caractérisé par une palette de verts éternels. Outre sa faune et sa flore abondantes, cette république transportera les amoureux de sa civilisation à travers sa culture et ses traditions. Les voyageurs y trouveront de multiples châteaux, abbayes et musées aussi fascinants les uns que les autres. De plus, pour la plus grande satisfaction des touristes, les 32 comtés de île ont développé une excellente infrastructure d’accueil. Par ailleurs, le territoire irlandais est connu pour être un centre international de la pêche. En y passant les vacances, les explorateurs auront l’occasion de découvrir sa richesse halieutique, que ce soit en lac, en rivière ou en mer. Les bourlingueurs pourront, par exemple, opter pour un séjour guidé dans la région de Shannon où sont abrités de nombreux lacs dont le Lough Derg, un des plus immenses lacs du pays. Ceux-ci hébergent une impressionnante population de gros brochets. A cette aventure s’ajoute la possibilité d’habiter au cœur ou non loin d’un village disposant des pubs, des restaurants et diverses formules de logements.

Les hébergements à privilégier lors d’un séjour pêche:
De nombreux hébergements peuvent être associés aux séjours de pêche, et cela, en fonction des attentes des voyageurs. Chaque type a ses propres particularités, mais le choix reste une affaire de goût et de budget. Il convient d’ailleurs de préciser que la plupart d es logements sont approuvés selon les normes de l’Office du Tourisme irlandais. Parmi les formules d’habitation existantes, les vacanciers pourront opter pour la location de gîtes. Généralement, celle-ci se fait à la semaine, mais il est toujours possible de négocier. À noter que les maisons sont pourvues d’une cuisine équipée ainsi que d’électricité et de gaz. Mis à part la location, certains propriétaires proposent  des prestations pêche constituées de guidage et de location de barques. Outre cela, les guesthouses, dont la plupart sont localisées directement sur les spots de pêche, sont une solution à privilégier pour ceux qui ont des budgets un peu serrés. En plus d’être économique, la formule a également l’avantage de permettre aux visiteurs de côtoyer le quotidien et la culture des habitants. En effet, les routards, avec cette offre, bénéficieront d’un petit déjeuner (full Irish Breakfast) comprenant bacon, champignons, œufs, pudding…

Quelques informations à savoir:
En Irlande, la pêche au brochet est ouverte toute l’année et ne requiert aucun permis. Cependant, il est à noter qu’il faut une autorisation du propriétaire pour la pêche dans les lacs privés. Il est également interdit d’utiliser plus de 2 cannes par personne. Par ailleurs, solliciter les services d’un guide local et éviter de faire sa propre recherche de coins de pêche est fortement recommandé que ce soit en lacs ou en rivières. Toutefois, il est possible de partir seul pour la pêche à la truite, car les parcours vous seront indiqués. Néanmoins, il convient de préciser que les itinéraires sont souvent très sportifs et exigent une bonne condition physique.
Nombreux sont les pays qui réjouiront les aventuriers et, si l’Irlande en est un, un voyage Costa Rica vous entraînera entre autres vers d’autres aventures de pêches exotiques.

Mars égal à lui-même. Avril un bon mois pour la pêche en Irlande

Temps toujours très instable en Irlande pour ce mois de Mars 2017.Nous croyions le printemps revenu quand quelques jours à 13/15°C sont arrivés. La douche écossaise fut plutôt irlandaise car les giboulées glaciales n’ont pas manqué de survenir subitement abaissant la température de 10°. Ce matin, une petite couche de neige blanchissait la campagne et alimentera encore les lacs et rivières déjà très hauts.
Les tentatives de pêche s’avèrent vaines car tout est en crue, l’eau est sale et froide et ne fait que monter et descendre, ce dont les poissons ont une sainte horreur. Pour le pêcheur, la pêche en bateau est pour le moment très difficile car des rafales soudaines arrivent avec les nuages noirs et produisent temporairement des vents très forts, humides et glaciaux.
Qu’on se rassure, ça ne durera pas et avril, à venir prochainement, est un mois de réveil de toute la faune aquatique et où la pêche réserve souvent de très bonnes surprises surtout en fin de mois dès que l’eau atteint 10°. Avril est sans doute un des meilleurs mois pour la truite, notamment les grosses qui sortent de leurs réserves et n’ont pas encore vu trop de monde passer.

Début d’année de pêche en Irlande: Conforme aux habitudes

Le problème de l’hiver ici, c’est qu’il n’y a pas de juste milieu. Il y a 3 jours, je déplorais que les rivières fussent trop basses et aujourd’hui elles sont en crue à cause des fortes pluies survenues brutalement.
Janvier s’annonçait bien quand les brochets mordaient encore pas trop mal et le froid de fin de mois leur a cloué le bec. Ils répondaient à nouveau quand la montée des eaux et la tempête a rendu toute pêche en bateau impossible. Le 15 Février, ouverture de la truite dans certaines rivières mais l’eau basse, froide et claire les a rendues désertiques. On se demande où elles sont passées alors que j’en connais la dense population. Là, moi qui souhaitais une pluie bienfaitrice, je suis servi: Pas moyen de pêcher car trop d ‘eau et de courant et c’est donc dangereux et puis de toute façon ça ne mordrait pas. Encore quelques jours de patience et le temps devrait se stabiliser et faire en sorte que les affaires reprennent. Le 1° Mars sera l’ouverture de le truite sur une grande majorité des rivières et je pourrai enfin me régaler avec les belles truites de début de printemps qu’on ne trouve plus que très difficilement plus tard.
Si Mars n’est point trop froid, j’ai bon espoir pour le brochet car la température de l’eau remontera vite et on les trouvera sans doute dans les zones moins profondes en lisières d’herbiers.
Toutefois, pas d’inquiétude à avoir car mes quelques sorties truite ou brochet m’ont démontré que les poissons sont bien là mais qu’il faut seulement être un peu patient.
J’en profite pour construire un nouveau ponton sur mon lac, rénover une chambre et faire la maintenance du matériel de pêche. Tout sera prêt pour la nouvelle saison et satisfaire nos pêcheurs.

mois de juin et juillet extraordinaires pour la truite en irlande

Mi-Juin et Juillet ont été pluvieux et venteux dans nos contrées de l’ouest. Les brochets, n’aimant pas trop les mouvements de niveau d’eau et encore moins l’eau sale, répondaient moins et seuls les petits restaient encore très actifs. Par ces temps peu propices à la pêche en bateau, nous nous sommes donc concentrés sur la pêche à la truite, qui elle au contraire, apprécie des eaux plus vives et moins claires. Bien nous en a pris car ce sont plus de 1000 truites que nous avons pêchées en un mois et demi et en prospectant les rivières de notre secteur assez bien pourvu.Plus grosse: 68 cm prise sur nylon 14/100! Bravo au pêcheur qui n’était pas non plus un néophyte.
Pour les moucheurs, les milieux de journées sont les plus favorables. Même si ça ne gobe pas toujours, pêcher l’eau reste très efficace avec des émergentes brunes ou rousses, ou des mouches toutes simples en oreille de lièvre sans fioritures.
Depuis la stabilisation du niveau des lacs et leur éclaircissement, la pêche au brochet fournit à nouveau des résultats plus réguliers surtout les jours ensoleillés en zones herbeuses et peu profondes. les dernières sorties ont produit quelques dizaines de poissons très combatifs. Le jerk-bait est le leurre qui fonctionne bien en coloris assez flashy si les pressions atmosphériques sont stables.

journées folles de pêche en Irlande

Seule l’Irlande et sa pêche peuvent procurer des journées de fous comme celles d’hier et aujourd’hui:
18 brochets au total en 2 jours pour 210 livres et le tout pris sur un espace d’un demi-hectare où il y avait concentration de gros brochets dans 1,5 à 2 mètres d’eau. On a passé autant de temps à les prendre et les décrocher qu’à les pêcher. Chaque dérive de 100 mètres procurait 1 ou 2 poissons de très belle taille dont un de 29 livres, un autre de 25 livres et 4 mètrés au total.
Tout fut pris au leurre buster jerk et à la mouche (dont les 3 plus gros). Vraiment 2 jours fous comme on en voit peu dans sa vie. La pêche en Irlande a encore fait spectacle de sa magie!
Paul et moi, les guides de pêche, avons découvert un spot extraordinaire comme il en existe sans doute peu dans le monde.
ça fait partie de notre job et quand nous recommandons un guide aux pêcheurs, c’est vraiment une valeur ajoutée à votre séjour.

ça repart et ça continue!

Seule l’Irlande et sa pêche peuvent procurer des journées de fous comme celles d’hier et aujourd’hui:
18 brochets au total en 2 jours pour 210 livres et le tout pris sur un espace d’un demi-hectare où il y avait concentration de gros brochets dans 1,5 à 2 mètres d’eau. On a passé autant de temps à les prendre et les décrocher qu’à les pêcher. Chaque dérive de 100 mètres procurait 1 ou 2 poissons de très belle taille dont un de 29 livres, un autre de 25 livres et 4 mètrés au total.
Tout fut pris au leurre buster jerk et à la mouche (dont les 3 plus gros). Vraiment 2 jours fous comme on en voit peu dans sa vie. La pêche en Irlande a encore fait spectacle de sa magie!
Paul et moi, les guides de pêche, avons découvert un spot extraordinaire comme il en existe sans doute peu dans le monde.
ça fait partie de notre job et quand nous recommandons un guide aux pêcheurs, c’est vraiment une valeur ajoutée à votre séjour.

Mai! et ça repart

La première semaine de Mai fut globalement bonne avec cependant quelques irrégularités sans doute liées aux variations de pression atmosphérique. L’eau est à 12°C en surface.

Les petits lacs et les rivières sont moins affectés, ils ont donné les meilleurs résultats de brochets de la semaine. Pour exemple: 44 brochets hier sur le Shannon à 4 pêcheurs ce qui est plutôt honorable compte tenu du temps déplorable, à savoir une pluie incessante qui vous gelait jusqu’aux os. Les plus de 10 livres sont encore très rares dans la saison mais on ne les voit guère avant fin Mai. Aujourd’hui, ce n’était plus la folie mais deux de mes amis en ont pris 15 tout de même. Leurre et traîne sont les valeurs sûres.

Les truites sortent leur nez  maintenant régulièrement mais le niveau des rivières baisse considérablement. La pluie d’hier n’y suffira pas et il ne faudrait pas que cela dure sinon ce sera très dur! Une courte sortie de 2 heures Jeudi sur la rivière Graney s’est soldée par 40 poissons. Aujourd’hui avant l’orage, plus une touche! Sales bêtes!

Demain exploration du Lough Bridget sur lequel je n’ai jamais pêché et qui, dit-on, peut réserver des surprises.